Introduction à Tartous
Tartous, une ville portuaire située sur la côte syrienne, est connue pour son riche patrimoine culturel et son importance économique. Cependant, comme dans beaucoup d’autres villes, certaines zones peuvent présenter des risques pour la sécurité, surtout en période d’instabilité. Cet article se penche sur les dix quartiers de Tartous qui sont considérés comme les plus dangereux.
1. Quartier de AL-Khaimah
Le quartier de Al-Khaimah est souvent évoqué pour sa criminalité plus élevée que dans d’autres secteurs. Cette zone est connue pour des problèmes de gangs et de vols, ce qui incite les résidents à faire preuve de vigilance. Les résidents ont signalé des incidents de violence, souvent liés à des conflits personnels.
2. Quartier de Al-Mulayhat
Al-Mulayhat est un autre secteur préoccupant, avec des taux de criminalité qui peuvent augmenter durant des périodes spécifiques. Il est conseillé d’éviter les déplacements nocturnes dans ce quartier. Les tensions sociales peuvent parfois mener à des affrontements, rendant le lieu moins sûr pour les visiteurs.
3. Quartier de Al-Dawwar
Les rues d’Al-Dawwar présentent également des préoccupations en matière de sécurité. Ce quartier est caractérisé par un grand nombre de bâtiments abandonnés, ce qui favorise des activités illégales. Les forces de l’ordre surveillent tendrement cette région pour tenter de contenir la criminalité.
4. Quartier de Jahra
La zone de Jahra est connue pour son atmosphère tendue, avec un rapport constant d’incidents désagréables. La collaboration entre gangs et trafics illicites en fait un lieu à éviter. Les résidents souvent inquiets ont pris l’habitude de former des comités de vigilance pour contrer ce sentiment d’insécurité.
5. Quartier de Al-Manshiyah
Al-Manshiyah a été le théâtre de divers événements malheureux. Les tensions géopolitiques, combinées à des inégalités économiques, ont contribué à une augmentation des comportements antisociaux. Les résidents expriment un besoin urgent d’amélioration de la sécurité dans ce secteur.
6. Quartier de Al-Qusour
Ce quartier est souvent désigné comme l’un des moins sûrs, en particulier durant la nuit. Les rapports de vol à main armée et d’agressions sont plus fréquents. Les éclairages publics insuffisants et les ruelles étroites ajoutent à la vulnérabilité des habitants.
7. Quartier de Al-Basel
Al-Basel, malgré son potentiel de développement, fait face à une criminalité qui affecte la qualité de vie de ses habitants. Des conflits entre groupes de jeunes se produisent fréquemment, rendant cette zone moins attractive pour les familles.
8. Quartier de Al-Rabwah
Al-Rabwah présente des défis en matière de sécurité, notamment par le passé. Bien que des efforts de réhabilitation aient été faits, le sentiment d’insécurité demeure, souvent à cause de l’absence de présence policière suffisante dans certains secteurs.
9. Quartier de Al-Sahabah
Al-Sahabah est souvent cité en matière de préoccupations sécuritaires, notamment par rapport à la drogue et au trafic d’êtres humains. Les résidents demandent des interventions plus fermes de la part des autorités pour rétablir l’ordre.
10. Quartier de Al-Fakher
Enfin, Al-Fakher est perçu comme un secteur à risques élevés. Des incidents de violence se produisent régulièrement, ce qui incite les résidents à rester vigilants. Les efforts pour améliorer la sécurité sont en cours, mais les résultats mettent encore du temps à se matérialiser.
FAQ
Quels sont les signes d’un quartier dangereux à Tartous?
Des signes incluent un taux élevé de criminalité, des avis de sécurité des habitants, des rues désertes la nuit, et un manque de présence policière.
Comment peuvent-ils maintenir leur sécurité dans ces quartiers?
Les résidents doivent rester attentifs à leur environnement, éviter de se déplacer seuls la nuit, et établir des contacts avec les voisins pour créer un réseau de sécurité.
Y a-t-il des projets de réhabilitation pour ces quartiers?
Oui, certaines initiatives sont mises en place par des ONG et l’État pour améliorer les infrastructures et renforcer la présence policière, mais les effets sont encore à évaluer.